Replacement medicine technologies, 3D Bioprinting, regenerative medicine (stem cell therapies), genomics: today and tomorrow's medicine! The transplant medicine, yesteday's medicine, is keeping its grip on our health and diseases, no matter what, as it is only willing to protect its financial interests (immunosuppressive drugs for kidney transplant)... Official Narrative (sponsored by Big Pharma) VS What Really Happened (sponsored by... nobody).
Bienvenue. Ici on fait la chasse aux mythes sponsorisés par ces "Labos" pharmaceutiques souhaitant préserver une rente de situation ... Et on agit ... C'est-à-dire que l'on s'organise ... "Google is my boss" : les
éditeurs de presse européens n'aiment pas les zigotos qui écrivent sur
des tas de choses sur leurs blogs ... et qui eux ont besoin de Google pour
se faire connaître ... En fait la presse n'aime pas les glandus dans mon
genre ... qui se permettent d'avoir des idées et des les faire
connaître ... Le précédent gouvernement avec son Hadopi s'est mis à
la solde des majors ... Celui-ci va se mettre à la solde des éditeurs de
presse 1.0 (presse papier traditionnelle) ... Après cela sera le tour des éditeurs 1.0 de bouquins (éditeurs papier) avec
l'envolée du self publishing ... Mais faut se mettre à la place des
Empereurs 1.0 (tous ceux qui cherchent à protéger une rente de situation) ... veulent pas crever ... veulent continuer à gagner encore beaucoup de
sous ...
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"Etalab dissout, vers la fin de l'open data à la française ?" : "Cette réorganisation pourrait donc être le signe d'un revirement dans l'approche de l'Etat quant au partage des données publiques. Une approche qui avait conduit à la création d'Etalab en 2011. Selon Les Echos, le gouvernement travaillerait en effet à la mise en place d'un projet visant à tirer profit de ces données. Gratuites pour l'instant, ces dernières pourraient donc devenir payantes.
RépondreSupprimerPremières victimes, les données de santé
Rendre les données publiques disponibles gratuitement n'est en effet pas un objectif partagé par tous les membres du gouvernement. Début septembre, le site de comparaison de tarifs médicaux Fourmi Santé s'était vu menacé de poursuites par la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) s'il ne retirait pas "tout lien avec le site Ameli.fr" permettant d'accéder aux tarifs publics des professionnels de santé (lire l'article "Honoraires médicaux : Fourmi Santé réclame la transparence de la CNAM", du 06/09/12)."
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/suppression-etalab-1012.shtml