Lire l’ensemble de l’article (Document PDF, 156 Ko., 3 pages) :
==> http://nereja.free.fr/files/Consentement_eclaire_27042010.pdf
==> Lire cet article sur AgoraVox, le journal citoyen en ligne
VERSION AUDIO
From organ replacement medicine to genomic precision medicine. Documenting all the way from Organ Donation to Gene Editing: The "Creative Destruction of Medicine". Organ replacement technologies. 3D Bioprinting. Fablabs. DIY Bio. New-Gen Genome Sequencing. Gene Therapy (transplanting genes into cells, rewriting patients' DNA). MOOCs. mHealth. In Memoriam Pr. Emmanuel Andronikof, Mathematician, Steve Jobs: "Think different," and Aaron Swartz: "Access to information is a human right."
Lire l’ensemble de l’article (Document PDF, 156 Ko., 3 pages) :
==> http://nereja.free.fr/files/Consentement_eclaire_27042010.pdf
==> Lire cet article sur AgoraVox, le journal citoyen en ligne
VERSION AUDIO
Ce site respecte les principes de la charte HONcode.
Vérifiez ici.
1 commentaire:
Concernant l'anecdote :
« Devant mon hôpital, alors que je faisais autre chose, un homme jeune a fait un arrêt cardiaque...
Appel des secours institutionnels (il était sur la voie publique), réanimation, transport dans mon
service, poursuite de la réanimation, arrivée des pompiers médicalisés. Pas de reprise d'activité
cardiaque, inclusion dans le protocole prélèvement à ‘coeur arrêté’. Que dit le médecin transporteur à
la femme du patient ? ‘Madame, pour mieux réanimer votre mari, il faut qu'on le transporte à la Pitié-
Salpêtrière, êtes-vous d'accord ?’ ‘ – Oui’, dit la dame... et hop, le tour est joué ! On m'a raconté cela
alors que cet homme était déjà dans le camion (l'idée étant qu'à la Pitié-Salpêtrière, malgré la super
réanimation, on n'avait quand même rien pu faire, madame est-ce qu'un prélèvement blabla, sauver
des vies blabla). (…) Arrive un vieux réanimateur de l'hôpital, il convoque le médecin transporteur et
lui dit qu'il s'oppose à un transport fondé sur le mensonge. Il l'enjoint d'aller revoir la dame et lui dire
clairement ce dont il s'agit (et rechercher son consentement ou celui du mari). La dame refuse. Le
mari est débarqué, la réanimation s'arrête dans le service ou il meurt tranquillement. »
Voilà qui montre bien que, même en cas d'issue fatale (le patient dont on parle ici est décédé), le consentement éclairé des proches pour un prélèvement "à coeur arrêté" est très difficile, voire impossible à obtenir. Auriez-vous accepté le transport de votre conjoint dans un grand hôpital dans le seul but du prélèvement de ses organes ? Si "un transport fondé sur le mensonge" est la seule option pour obtenir des reins afin de répondre à la pénurie de greffons, alors il y a quelque chose qui ne va pas dans le circuit de prélèvement ... La fin justifie-t-elle les moyens ?
Enregistrer un commentaire