"La transplantation (...), '
si elle est magique au plan individuel, est un non-sens épidémiologique', (...). Il y a en effet bien
trop peu de greffons pour tous les malades en attente de greffe. D’où viendra donc le salut pour le cœur ? '
Tous les systèmes d’assistance circulatoire fonctionnent et sont miniaturisés. Mais surtout, on commence à savoir régénérer les tissus. Avec l’évolution du génie génétique, de la thérapie cellulaire, de la pharmacologie, on implantera de petites pompes provisoires, le temps de réparer les cellules cardiaque endommagées ou malades', se réjouit
Daniel Loisance, chirurgien cardiaque, membre de l'Académie Nationale de Médecine. '
C’est le paradoxe de l’évolution de la science : on aura travaillé 40 ans sur le cœur artificiel et le marché disparaît, puisqu’on saura réparer le cœur'."
Pour information : le
Pr. Daniel Loisance effectue depuis plusieurs années des missions humanitaires en Birmanie, quand il ne se trouve pas à l'Institut de Cardiologie de l'hôpital de la Pitié Salpêtrière, Paris (13e) ... Pour lire le journal de son action, c'est
ici (Volume 10), et
ici pour les Volumes 1 à 9 ...
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