Un universitaire, spécialiste des relations internationales (géopolitique) vient de publier deux ouvrages sur le foot et la mondialisation. Le foot a un terrain d'avance sur la mondialisation, même s'il est peu inscrit dans la culture des pays anglo-saxons. Autour du foot, tous les pays ou presque peuvent se "réconcilier". Je me rappelle quant à moi certains supporters du PSG, mais bon, mettons que d'un point de vue géopolitique, Pascal Boniface ait raison. On le voit souvent dans l'excellente émission "C dans l'air" (France 5, Yves Calvi). Aujourd'hui, M. Boniface était interviewé sur BFM, la radio de l'économie, à l'occasion de la sortie de deux ouvrages : "Football et mondialisation" et "La coupe du monde dans tous ses Etats".
Un autre excellent spécialiste dans le domaine des relations internationales : l'universitaire Jean-Christophe Victor, auteur et présentateur de l'émission sur Arte "Le dessous des cartes". Cette émission remporte d'ailleurs la palme de la longévité - j'avais eu l'occasion d'entendre des cours magistraux de Jean-Christophe Victor, quand j'étais étudiante à l'université de Paris X il y a une vingtaine d'années, et peux vous dire que toutes les étudiantes l'adooooraient (hem moi y compris, bien sûr).
Le foot serait aussi populaire dans le monde que le Coca-Cola, mais serait beaucoup moins rentable sur le plan économique. Il est vrai qu'aux entreprises (medias inclus) qui le sponsorisent, le foot coûte très cher, plus qu'il ne rapporte. Mais le gain en visibilité sur le marché qu'il occasionne est irremplaçable. Les présidents de la république française ont tous cherché à courtiser de grands sportifs - justement pour leur visibilité -, chacun à sa manière, selon son sport (ses sports) favori(s). Il paraît que notre président actuel essaie (en vain !) de courtiser Yannick Noah, ainsi que certains joueurs de l'équipe de France (avec succès ? Dans le passé certainement en tout cas !) Sarko serait fan du coureur cycliste Lance Armstrong, sorti vainqueur du dopage et du cancer, et se vivant comme un champion, un peu comme notre hyperprésident - ah bon, parce que les autres ne se vivaient pas comme des champions ?
Le foot serait aussi populaire dans le monde que le Coca-Cola, mais serait beaucoup moins rentable sur le plan économique. Il est vrai qu'aux entreprises (medias inclus) qui le sponsorisent, le foot coûte très cher, plus qu'il ne rapporte. Mais le gain en visibilité sur le marché qu'il occasionne est irremplaçable. Les présidents de la république française ont tous cherché à courtiser de grands sportifs - justement pour leur visibilité -, chacun à sa manière, selon son sport (ses sports) favori(s). Il paraît que notre président actuel essaie (en vain !) de courtiser Yannick Noah, ainsi que certains joueurs de l'équipe de France (avec succès ? Dans le passé certainement en tout cas !) Sarko serait fan du coureur cycliste Lance Armstrong, sorti vainqueur du dopage et du cancer, et se vivant comme un champion, un peu comme notre hyperprésident - ah bon, parce que les autres ne se vivaient pas comme des champions ?
Les greffés se vivent aussi comme des champions, n'oublions pas tous les événements sportifs qui ont lieu chaque année ("Couse du coeur", etc.) pour fédérer les greffés dans l'effort sportif autour de la cause du don d'organes. Le sport est le meilleur moyen pour gagner en visibilité. Pascal Boniface n'a pas voulu faire de pronostic pour le match à venir. Cela porterait malheur. Vendredi 11 n'est pas vendredi 13, mais évitez tout de même de croiser un chat noir aujourd'hui ou de passer sous une échelle, on ne sait jamais ...
Comme dit Patrick Sébastien, animateur du Plus Grand Cabaret du Monde sur France 2, ayant pour ambition d'aiguillonner les politiques avec son D.A.R.D., reprenant le flambeau politique du génial Coluche (le foot, c'est moins dangereux que la moto, disent les "esprits chagrins"), espérant chasser le "blues" politique, celui qui fait du foot l'opium du peuple (d'en bas) : "Allez le Bleu !"
Comme dit Patrick Sébastien, animateur du Plus Grand Cabaret du Monde sur France 2, ayant pour ambition d'aiguillonner les politiques avec son D.A.R.D., reprenant le flambeau politique du génial Coluche (le foot, c'est moins dangereux que la moto, disent les "esprits chagrins"), espérant chasser le "blues" politique, celui qui fait du foot l'opium du peuple (d'en bas) : "Allez le Bleu !"
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